"J'aurai jamais dû m'éloigner de mon arbre" Toi j'ai l'impression que tu es restée tout près ! Et le banc, c'est pour les amoureux qui se bécotent ? Bises, Gine Bon samedi
Je suis en train de réfléchir... quel est "mon" arbre ? Peut être ce vieux cerisier qui a toujours été à coté de la maison de mon enfance, et qui était là bien avant...
Ein Bild, wie ein Gedicht - ach, es ist solch eine poetische Jahreszeit der Herbst. ein Platz und zu träumen, schweigen und einfach dem Zauber des Herbstes verfallen.
Au-dessous de mes arbres... Le mien est un frêne, il est dans mes pages à différentes saisons ! La couleur automnale lui va bien aussi, tu me donnes une idée ! Bon dimanche !
je vivais heureux..heureuse!
RépondreSupprimer"J'aurai jamais dû m'éloigner de mon arbre"
RépondreSupprimerToi j'ai l'impression que tu es restée tout près !
Et le banc, c'est pour les amoureux qui se bécotent ?
Bises, Gine
Bon samedi
M'en vais fredonner toute la journée cette chanson... ceci, cela n'est pas désagréable :) Un cliché d'automne qui fait bon et beau aux yeux*
RépondreSupprimerMerci
Sentiment de protection. Brassens ne l'aurait pas renié.
RépondreSupprimerdieu que cette photo est belle on viendrait bien dans sa laine roulée y passait quelques heures au chevet d'un livre aimé.
RépondreSupprimerbisous
magique phtographe
Voilà ce qui compte dans la vie, avoir à portée de regard un arbre à qui parler...
RépondreSupprimer"J'aurais jamais dû le quitter des yeux"...Merci pour cet hommage à Brassens.
RépondreSupprimerMon Dieu...il m'a suffit de voir ton titree et la chanson m'est revenue en tete. Quelle superbe photo Gine Merci :-)
RépondreSupprimerIl est sublime dans ce beau paysage d'automne ! Bonne soirée ;)
RépondreSupprimerJe suis en train de réfléchir... quel est "mon" arbre ? Peut être ce vieux cerisier qui a toujours été à coté de la maison de mon enfance, et qui était là bien avant...
RépondreSupprimerEin Bild, wie ein Gedicht - ach, es ist solch eine poetische Jahreszeit der Herbst.
RépondreSupprimerein Platz und zu träumen, schweigen und einfach dem Zauber des Herbstes verfallen.
bisous - isabella
Un banc public, mais pas d'amoureux qui se bécotent !
RépondreSupprimerAu-dessous de mes arbres...
RépondreSupprimerLe mien est un frêne, il est dans mes pages à différentes saisons !
La couleur automnale lui va bien aussi, tu me donnes une idée !
Bon dimanche !
Joli cliché a lui tout seul il est une ode au voyage immobile :)
RépondreSupprimerSacha